Auteur : David Wellington

Pages : 411

ISBN : 978-2-8112-0364-1

Tome 2 : Zombie Nation

Un jour les morts se sont relevés…
Une vague de terreur et de cannibalisme se répand aux États-Unis. Bannerman Clark, capitaine de la Garde nationale, est chargé d’une mission capitale : découvrir l’origine de ce désastre et l’empêcher de gagner Los Angeles. Son enquête le mène en Californie où une femme détiendrait le secret de l’Épidémie. Mais elle est frappée d’amnésie. Et pour la protéger, Bannerman doit venir à bout de zombies de plus en plus nombreux, invisibles ou dotés de pouvoirs dignes de super-héros.
Apprenez comment l horreur a commencé…

Note

Le premier tome de cette trilogie fut une véritable surprise pour moi. En premier lieu parce que c’était la première fois que je parcourais les pages d’un roman traitant de zombies; en deuxième lieu parce que j’ai franchement bien aimé cette histoire dont – je dois l’avouer – j’étais quelque peu réticent à lire.

Ce deuxième volume, tout aussi bon que le premier, offre une approche bien différente de Zombie Island. En tant que lecteur, nous avons l’avantage de savoir à l’avance ce qui se produira – du moins les grandes lignes – puisque le premier tome débutait en plein carnage. Il est toutefois très intéressant de voir comment le tout a commencé, de découvrir petit à petit comment le monde a basculé dans l’horreur, comment tout un pays doit réagir pour essayer de survivre à un tel chaos.

Bien sûr, plusieurs passages sont décrits avec beaucoup de détails et nous permettent de visualiser les scènes d’horreurs avec aisance. De plus, les petites phrases en début de chaque chapitre savent faire leur effet. On se rend compte, tranquillement pas vite, que tout dégénère partout au pays. Quelques fois, ça fait froid dans le dos…

Encore une fois, l’écriture est fluide et plaisante à lire sans toutefois être d’une grande qualité littéraire. L’auteur tire très bien les ficelles et contrôle à merveille son récit, ce qui laisse parfois place à un certain suspense. Le rythme est bon – ce qui est dû en grande partie aux chapitres qui sont relativement courts. En fait, le roman se lit un peu à la façon d’un road movie, permettant ainsi au lecteur de tourner les pages en se posant très peu de questions. L’intrigue n’est pas nécessairement très grande, mais pousse inévitablement le lecteur à vouloir se procurer la suite!

Voyez comment les morts se sont relevés…

16/03/2012

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