Auteur : Patrick Senécal
Pages : 177
ISBN : 978-2-89714-021-2
Patrick Senécal est un auteur prolifique au Québec depuis plusieurs années déjà. Il est surtout connu pour ses romans d’horreur et d’épouvante qui ne sont certes pas destinés aux jeunes lecteurs. Ses deux enfants lui répétant sans cesse d’écrire une histoire qu’ils pourraient lire eux-aussi, Senécal se décida enfin à publier un récit destiné à un public jeunesse afin d’initier ces jeunes lecteurs aux histoires d’épouvantes. Comme j’adore cet auteur, j’étais curieux de connaitre cette petite histoire !
J’adore Patrick Senécal, j’adore ses romans d’horreurs qui donnent des frissons dans le dos. Mais quant est-il d’un roman écrit par le maitre de l’horreur au Québec lorsque celui-ci est destiné à un auditoire jeunesse ? Ça ne peut qu’être intéressant… et ça ne peut qu’être bon. Of course !
Madame Wenham est la suite directe du premier roman jeunesse de l’auteur ; Sept comme Setteur. On y revoie donc les mêmes personnages principaux, la famille même de Patrick Senécal, lui, sa femme et ses deux enfants Nat et Rom. Et cette fois, on retrouve ces deux enfants avec un tout autre problème… une enseignante des plus sinistre viendra en relève au professeur de Rom pour le reste de l’année scolaire. Mais avant de s’occuper de leur nouveau professeur, Nat et Rom devront régler leur problème personnel s’ils veulent faire équipe et ainsi avoir une chance de l’emporter face à la mystérieuse madame Wenham.
Ce petit roman jeunesse est une suite très agréable du premier roman. J’irais même jusqu’à dire que je l’ai préféré à son prédécesseur. L’écriture est toujours aussi fluide est axée sur un style qui permettra aux jeunes lecteurs et lectrices de s’initier à la lecture d’épouvante. Qui plus est, ces jeunes y trouveront une belle leçon de vie qui les aideront à comprendre qu’il est préférable de rester humble devant ses propres succès !
12/11/2018
bonjour
j’écris pour dire que je l’ai plus aimé que setteur et se que je n’ai pas aimé est la façon dont Nat agis, parce que je trouvais que c’étais inutile. car à cause de ça il a perdu ses amis.