Auteur : Arthur C. Clarke
Pages : 193
ISBN : 978-2-8112-0646-8
La trilogie de l’espace, tome 1 : Les îles de l’espace
Le jeune Roy Malcolm gagne un concours télévisé qui lui permet de faire un stage sur une station orbitale. Mais son séjour là-haut se révèle encore plus aventureuse que même lui aurait osé rêver !
J’aime beaucoup lire de la science-fiction. J’aime l’idée de voyager dans l’espace ou le fait de voir des technologies futuristes évolutives. Je ne connais Arthur C. Clarke que pour avoir lu le roman 2001, l’odyssée de l’espace que j’avais beaucoup aimé. Puis, avec Chants de la Terre lointaine, j’ai eu confirmation que cet auteur doit se retrouver dans ma biblio. Ce premier tome de la trilogie de l’espace, Les iles de l’espace, est donc un troisième pas intéressant pour moi dans l’univers de cet auteur.
C’est de la science-fiction simple alors que nous suivons un jeune homme qui gagne un voyage en orbite terrestre, dans les structures orbitant depuis de nombreuses années autour de notre planète. Son voyage ne sera pas des plus calmes alors qu’une série de péripétie le rendra un peu plus mouvementé que prévu.
Malheureusement, je crois que je m’attendais à un peu mieux que ce que j’ai lu. Non pas que ce soit une lecture décevante en tout point, mais disons que le style de l’auteur est particulier. Il se perd fréquemment dans des descriptions longues et souvent ennuyantes. Puis, quand vient enfin une montée intéressante dans le récit, rendant l’histoire enfin attrayante, c’est la déception de nous retrouver avec des explications bidons et sans intérêts. En fait, j’ai eu l’impression, et ce pendant pratiquement toute cette lecture de ce premier tome, que le récit tournait en rond et ne menait nulle part. Le semblant de suspense avec des « simili-drames » a été pour moi pour le moins décevant.
S’évader la tête dans les étoiles est toujours intéressant. Quelques moments se démarquent dans le récit, mais bien peu à mon goût. Je ne suis pas prêt à dire que je ressors de cette lecture désenchanté, mais je ressens très certainement un manque qui n’a pas su être comblé.
Qu’à cela ne tienne, je lirai la suite avec plaisir. Je laisserai seulement un bon moment avant de m’y mettre !
13/03/2024
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