Auteur : Jean-François Régnier

Pages : 220

ISBN : 9791040507628

Weston Forrester tué, Duncan Smith à l’abri de tout soupçon, tout aurait dû bien se terminer. Mais le retour de Gavin Scott à Boston fait l’effet d’une bombe et relance une affaire trop vite enterrée.

Troisième et dernier volet de la trilogie Ma bête, Charge bestiale nous entraîne dans une traque cauchemardesque, sans aucun répit.

Note

J’ai entendu parler de Jean-François Regnier pour la première fois il y a près de 4 ans alors qu’il m’avait offert le premier roman d’une future trilogie. Et me voici maintenant avec le dernier roman qui conclut la grande histoire de ce qui est maintenant la trilogie « Ma bête » (Ma bête et Une bête à tuer). L’histoire du « Hangar de Newton » n’a pas fini de faire parler. Ça non !

Duncan Smith, gardé captif par Weston Forrester dans le but de lui faire commettre des meurtres qu’il n’avait pas le courage de perpétré lui-même, réussit à s’échapper et à se venger de son geôlier. Alors que la finale du second tome de la série était grandement satisfaisante, voilà que l’auteur sort une carte cachée de sa manche pour nous pondre une suite. Mais alors, que peut-il arriver de plus pour compléter cette histoire ?

Eh bien, voilà que ce n’était pas qu’une simple carte que Jean-François Regnier cachait dans sa manche. C’était plutôt un Joker. Parce que cette suite est plutôt bien réussit ! Entre vengeance et espoir, le lecteur se retrouve embarqué dans un récit beaucoup plus approfondi qu’il ne le laissait présager. Une histoire maintenant complète qui vient boucler les mésaventures de notre personnage principal.

J’ai retrouvé les personnages avec plaisir. Leur évolution est intéressante et force est de constater qu’en y regardant bien, il restait encore pas mal de viande autour de l’os. La vengeance était au cœur du roman précédent pour Duncan Smith, alors que dans ce dernier tome nous le retrouvons en mode survit, le tout pour le tout.

Les pages tournent rapidement, les chapitres défilent et à chaque nouvelle information qui entre, le lecteur sent la tension qui monte. Le texte est rapide et efficace, quoique parsemé d’erreurs et de coquilles par moment. Néanmoins le lecteur embarque facilement dans cette suite et se surprend à tourner les pages avec empressement. La fébrilité et le stress est au rendez-vous et les idées de l’auteur ne manque pas.

Les deux premiers tomes venaient d’un auteur qui m’était inconnu. Dans ce troisième, je savais à quoi m’attendre du style et des idées de Jean-François Regnier. Et ce dernier roman complète très bien le récit de Duncan Smith.

Merci à Jean-François Régnier pour l’envoi de ce roman !

15/06/2022

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